Vous rebroussez chemin, et vous vous retrouvez encore à ce stupide croisement. Remarquez, vous l'avez cherché ! Finalement vous vous asseyez par terre, découragé. Il faut bien reconnaître que vous n'êtes qu'un lâche, et vous ne survivrez probablement pas longtemps à un combat. N'ayant pas envie de voir plus loin dans ce labyrinthe glauque, vous décidez de mettre le canon du fusil dans votre bouche. Vous pensez une dernière fois à une pinte de bière, aux revues cochonnes qui sont dans votre sac et que vous n'avez pas fini de lire, au chien de Knarf, à la soeur de Fumble, au Sous-Bock, aux merguez trop cuites du barbecue chez Nemesis (ha, ce sacré Nurgle !)... puis vous appuyez sur la gachette, et vous sentez comme un picotement derrière la tête, alors que votre cerveau se répand généreusement sur le mur. Il vous reste malgré tout deux possibilités... [Réapparaître] |