LES MONSTRES VIENDRONT...

Vous trouverez dans cette section un portrait de chaque type de vilain que l'oeuvre d'horreur nous réserve.

Les morts-vivants

Un zombie de Brain dead

Gaaaah... ghahaaaahaa... ahrgggg... bheuuuuu... arf. (Brain Dead)

Principalement utilisé dans l'oeuvre gore, ce monstre déteste la solitude. Il aime folâtrer en bandes compactes, agitant ses bras en avant pour accentuer son crétinisme. L'absence totale de cervelle des zombies permet aux héros du film de les exploser sans le moindre remord (ce qu'il font même s'il s'agit de leurs defunts amis). Comment animer un mort pour en faire un vivant ? Trois possibilités : par magie (vaudou, sorcellerie) comme c'est le cas dans l'Aube des Zombies et Army of Darkness, par une action chimique, comme dans les cultissimes Retour des morts-vivants et Re-animator, ou bien vous lancez une bonne maladie comme dans Zombie et Brain Dead. Peu de morts-vivants sont célèbres, du fait de leur courte durée de vie à l'écran et de leur intelligence réduite. Nous citerons seulement la délicieuse Julie, héroïne du très bon Retour des morts-vivants 3 et Evil Ash issu d'Army of Darkness qui commande l'armée des morts en route vers la reconquète du Necronomicon. On peut considérer, en tirant par les cheveux, que la créature de Frankenstein est aussi un mort-vivant, mais celui-là, tout comme les vampires, fait l'objet d'un classement spécial. Les zombies hantent surtout le cinéma, car ils dégagent dès leur apparition une envie de fou-rire latent dû à leur démarche ridicule. Peu de livres sérieux mettent en scène ces créatures, je citerai quand même Le démon des morts de G. Masterton durant lequel les morts reviennent sur terre, dirigés par le terrifiant démon aztèque Mictantecutli.

Voir l'article d'Elifas.

Les démons

Démon de Evil dead III - peinture Pen of Chaos

Du latin : daemonium, venu de daemon. Génie qui, dans le polythéisme gréco-romain, pouvait inspirer aux hommes l'exécution aussi bien de mauvaises, que de bonnes actions [...]. Dans le Christianisme : ange déchu, intrinsèquement pervers, dont le prince n'est autre que Satan. ---- (Dictionnaire du Diable de Roland Villeneuve)

Le démon est le vilain le plus monstrueux qui soit. En effet, s'il est un démon "mauvais" (par opposition aux démons du type "Korrigans" ou "farfadets" qui peuvent avoir des attitudes de toutes sortes), il n'a d'autre raison d'exister que de faire le mal. Quelquefois, un monstre peut avoir pitié, mais pas le démon. Le démon peut avoir diverses origines, et prendre n'importe quelle forme : animale, humaine, spécifiquement diabolique comme dans Legend ou même en lampe de salon comme dans Amytiville 4 ! Il peut avoir un faible pour un humain (généralement une femme), mais c'est le plus souvent à but sexuel comme dans Krull ou Sanctuaire. Toutes les religions ont leur malin : le diable-légion de L'exorciste est sans doute le plus connu, et celui qui a fait couler le plus d'encre... Les démons étranges du génial Evil dead ne sont pas des moindres, ni celui plus subtil de La malédiction qui frappe sous la forme d'un petit gosse blondinet. Les cénobytes d'Hellraiser hanteront vos nuits pendant des années, et les ridicules Ghoulies vous donneront envie de devenir ermite. Méfiez vous aussi des agriculteurs qui peuvent cacher Les démons du maïs. Graham Masterton, grand démonologue, sait mieux que quiconque les dénicher : Indiens comme dans Manitou et La maison de chair, aztèques dans Le démon des morts, de l'Inde profonde dans Transe de mort, catholiques dans Le jour J du jugement, Le miroir de Satan, Le trône de Satan, mais aussi lovecraftiens (!) dans Les puits de l'enfer. Le démon sait se jouer du temps et attendre son moment, il le prouve dans The gate et Warlock. Il sait rire aussi, mais c'est pour mieux frapper ainsi qu'on nous le montre dans The funny man ou Leprechaun. le hobby favori du démon, à part tourmenter l'homme, est de régner sur la planète, il essaie d'y parvenir dans El dia de la bestia ou bien Prince des ténèbres. Il contribue aussi quelquefois à la croissance démographique, d'une manière louche toutefois, dans Rosemary's baby par exemple. Le démon, incarnation d'extrait de concentré de mal, esprit voué à la perte du genre humain, est une source d'inspiration d'une richesse incroyable.

Voir notre partie démonologie sur Stigma Diaboli

Les vampires

Illustration tirée du Livre des vampires - YOUNG ARTISTS

Ses yeux gris lançaient des éclairs incandescents, et ses longues mains pâles, pendant de chaque côté de son corps, semblaient ne pas appartenir à notre espèce. Je sentis qu'à cet instant précis je savais tout ; ce qu'il me dirait ensuite serait superflu. En fait, lorsque j'aperçus sa fabuleuse aura je compris que j'avais affaire à une créature inconnue de moi, je me sentis alors littéralement réduit à néant. --- Entretien avec un vampire de Anne Rice

Voici un type de créature qu'il est difficile de cerner. Il existe des livres entiers portant sur la condition vampirique, et nous ne pouvons pas nous étendre de cette façon, puisque d'autres s'en sont chargés. Le phénomène semble-t-il naquit dans les monts éloignés de la transylvanie, dans le fief du comte Vlad Dracul (Dracula. Mais c'est la une version médiatique simplifiée, car en fait chaque pays possède son style de Vampire, depuis l'afrique jusqu'au Pérou, qui ont en commun d'être des non-morts et de sucer le sang de leur victimes. Dans certains cas, ils provoquent la mort, dans d'autres ils fabriquent un nouveau vampire qui viens grossir leurs rangs. Le vampire souffre quelquefois de problèmes de conscience (Entretien avec un vampire) car il ne choisit pas toujours sa condition. Selon son genre et sa puissance il peut avoir des ennuis avec la lumière du soleil (Aux frontières de l'aube, Vampire, vous avez dit vampire), l'ail et les crucifix, mais ce n'est jamais qu'un problème de puissance. En effet, il peut être quasiment invulnérable. Il peut aussi être aussi mou qu'un zombie, comme le montre From dusk till dawn. iIl y a tellement d'oeuvres réalisées sur le thème que leur collecte suffirait à remplir notre vie. Nous recenserons donc seulement ceux dont nous connaissons l'existence, et nous nous étendrons quelque peu sur ceux qui nous ont paru intéressants.

Voici un site spécialisé, pour ceux qui ne sont venus que pour ça Le musée des Vampires.

Les lycanthropes

Un lycanthrope d'Hurlements

Mais qu'est-ce que j'ai encore fait de mon peigne...

Le lycanthrope du ciné fantastique a la faculté (ou malédiction/maladie) de se changer en loup (bien que... cela puisse être aussi un autre animal - ours, puma...). Les oeuvres marquantes sont Le loup-garou de Londres, Hurlements (le premier), Peur Bleue pour Stephen King, et Wolf dans le registre grand public (avec Jack Nicholson et Michelle Pfeiffer). Dans le genre comédie, parmi de nombreux navets on peut sortir du lot Teenage Werewolf avec Michael J. Fox, assez mauvais mais tout de même buvable. Lorsque les effets spéciaux laissent à désirer (hurlements 4) le loup-garou peut se transformer en grosse peluche pataude et ainsi perdre beaucoup de sa superbe.

Voir le document sur la Lycanthropie chez notre partenaire histoire Heresie.com

Les sorcières

Le départ pour le sabbat - détail - Hans Baldung (1514)

Ô grand Manon possède moi, je veux sentir ta puissance couler dans mes veines ! The Craft

J'aime bien les sorcières. Elles sont assez proche de notre monde pour que le réalisme de l'oeuvre soit assurée. Dans l'univers de l'horreur, ce sont pratiquement toujours des femmes. Les sorciers célèbres sont plutôt réservés à l'héroïc fantasy, comme Elric ou Sauron, ou encore Elminster. Si la sorcière peut être craquante comme dans The Craft (Dangereuse alliance) ou Elvira, maîtresse des ténèbres, elle peut avoir le visage du mal comme dans Witchcraft ou faire dans le genre anodin comme nous le démontre Ma sorcière bien aimée. Elle peut être aussi le descendante d'un ancien démon summérien, et à vous emmener dans Apparition de Graham Masterton, où elle essaiera de dominer le monde futur en sacrifiant des enfants vivants au présent. Quelquefois c'est une petite fille dont l'âme est la réincarnation d'une jeteuse de sort, et là c'est Dis moi qui tu hantes de James Herbert qui vous l'expliquera. Pleine de charme et de pouvoirs étranges, cotoyant des alliés sortis des gouffres infernaux, la sorcière qui fut pourchassée pendant l'inquisition est aujourd'hui un personnage attachant, dont il vaut mieux être le copain que l'ennemi.

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Les revenants

Haaaaaaa.... les revenants ! Quelle légende n'a pas son fantôme ? Malgré tout on en voit assez peu dans les films du fait qu'ils ne sont pas bien dangereux, il faut l'avouer... on les retrouve plutôt dans les histoires psychologiques (Le 6e sens) que dans les déluges de gore, leur état immatériel les empêchant généralement de nuire. C'est peut-être pour ça que les films de revenants les plus connus sont des comédies : SOS fantômes, Beetlejuice, Fantômes contre Fantômes...

Les tueurs en série

Les griffes de la nuit - pas facile à classer,
vu que ce monstre est aussi un revenant, un démon et un fou...

1,2 freddy te coupera en deux
3,4 remonte chez toi quatre a quatre
5,6 n'ouèblis pas ton crucifix
7,8 il est cache sous ton lit
9,10 surtout ne dort pas la nuit

Le tueur en série, c'est du terre-à-terre. D'une manière générale il s'agit d'un humain fou, vicieux, trrrrès méchant, souvent impossible à tuer (la haine... ça décuple les forces) et qui se fixe un but qui échappe à tout le monde, comme par exemple celui de revenir dans le plus de suites possibles. Le détail amusant c'est qu'on devrait normalement s'éloigner du paranormal, alors que deux des trois tueurs en série les plus connus sont d'origine incertaine : Freddy et Jason. A y réfléchir, le mignon d'Halloween semble aussi bizarrement solide...

Les fous

Non, les fous ne sont pas forcément des tueurs en série. Enfin, les genres sont souvent imbriqués... Le meilleur cas de folie se trouve certainement dans 2000 Maniacs, film hautement gore dans lequel un village entier (un village de revenants fous...) assassine des touristes dans une cacophonie country particulièrement sordide.

Les extra-terrestres

Dans l'espace personne ne vous entend crier... ---- (Alien de Ridley Scott).

Ouh, qu'ils sont laids ces méchants Aliens qui viennent nous pourrir la vie ! Sous les formes les plus innatendues (Critters, Attack of the killer tomatoes) ou les plus délirantes (Les Clowns Tueurs Venus de l'Espace), ils n'ont de cesse que de nous harceler pour des raisons souvent vitales (pour eux). Ce qui vient du noir, ce qui emerge des profondeurs de l'espace ne peut qu'être mauvais, selon le cinéma ou la littérature fantastique, à quelques exceptions près (E.T., Rencontre du Troisième Type ou Los Angeles 1997).
Ces derniers temps les E.T. à forte tendance collonialiste ou devastatrice font un come back retentissant (le pitoyable "ID4" avec ses E.T. stupides). Mais ils ont toujours eu une place de choix dans l'épouvante et le gore. C'est bien normal, car on peut tout imaginer sur les E.T. Personne n'en ayant (sérieusement) jamais vu, ils font travailler l'imagination à un rythme epoustouflant. Ils peuvent être visqueux (Alien), secs (l'ensemble des films d'avant "Alien"), membre de "Pêche, Chasse et Tradition" (Prédator), envahissants (La Guerre des Mondes), vicieux (les fourbes inseminant nos compagnes dans Le Village des Damnés), larvés (Hidden), ou floraux (l'Invasion des Profanateurs de Sépultures), mais tous ont des intentions plus que douteuses à notre endroit !
Ne trouvez-vous pas que les étoiles brillent déjà moins ce soir ?....

Les cannibales

Gravure de Théodore de Bry - détail

J'ai dégusté son foie avec un délicieux Chianti. ---- (Le silence des agneaux)

Le cannibale est, avec le mort-vivant, le monstre préféré des fabricants d'oeuvres à tendance gore. En effet, quoi de plus attrayant que les gros plans sur une bande de fous plongeant leurs mains dans les entrailles fumantes de leur ami pour en extirper un bon repas ? Avec peu de moyens on obtient beaucoup d'effet. Enfin, il faut dire que souvent l'incompétence des acteurs fait progresser le film dans le sens comique... Le mélange détonnant zombie-cannibale est un gage de réussite  dans Le retour des morts-vivants, les cadavres gazés doivent se nourrir du cerveau encore chaud des vivants pour ne pas ressentir l'atroce souffrance et le froid de la mort. Dans Virus Cannibale on ne sait pas trop pourquoi ils le font, mais le résultat est le même. Quelquefois le cannibale est seul contre tous, et fier de l'être (Le silence des agneaux). Ou bien c'est une société qui s'organise pour faire des repas sympas (La grande bouffe, Voodoo soup). Le cannibale, gourmet s'il en fut, se côtoie plus rarement dans la littérature, mais l'excellent Rituel de chair de Graham Masterton saura vous expliquer toutes les bonnes recettes.
Enfin n'oubliez pas non plus que le cannibalisme n'est pas une légende, et qu'il existe bel et bien... Méfiez-vous, vos voisins qui ont l'air si sympathiques en sont peut-être...

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Les robots

Hardware - affiche du film

Moi, Proteus, je possede la sagesse et l'ignorance de tous les hommes, mais je ne peux pas sentir la chaleur du soleil sur mon visage. Mon enfant aura ce privilège. ---- ("Proteus IV" dans "Génération Proteus", ou un robot veut féconder une femme pour créer l'être "parfait".

Tout le monde le sait, les robots ne pensent qu'à une seule chose : se rebeller (Terminator). Même si ils sont le jouet préféré de la science-fiction, il n'en demeure pas moins que certain d'entre eux sont étroitement liés à l'épouvante. Rien que le fait qu'un robot puisse se rebeller fait peur ! Comment une chose créée par l'homme pourrait-elle se rebeller ? Parce qu'elle veut devenir indépendante (Génération Proteus) ? Parce que son programme guerrier est réactivé et qu'il ne connait que ça (Hardware) ? Parce que ses directives le pousse à le faire (2001 :: l'Odyssée de l'Espace, qui n'a aucun rapport avec l'horreur brute, mais qui fait peur à cause du comportement de HAL 9000) ? Parce qu'il est amoureux (Saturn 3) ? Ou bien parce qu'il veut tout simplement s'en prendre à l'homme, comme ça... (Yul Brinner)?
Il est facile de prêter une intention belliqueuse à des machines qui, de toutes façon n'ont pas le choix : l'homme les a créé, et celui qui engendre une autre créature est maître de celle-ci... Comme l'homme se rebelle contre "son créateur", les robots font de même... Doit-on y voir une parabole sur le fait que l'homme, s'il continue à s'éloigner de Dieu, se fera détruire par lui ?
Bref ! Si l'homme ne jouait pas avec le feu, peut-être que toutes ces rebellions mécaniques n'auraient pas lieu...

Les virus

Le virus peut avoir un rapport avec le savant fou, mais pas forcément... il s'agit d'une bactérie dont on nous explique rarement la provenance, et qui agira toujours par le biais d'autres personnes : animaux, humains. Forcément, les effets spéciaux microscopiques n'intéressent pas grand-monde... Il peut donner des hommes-bêtes, des zombies (ce sera d'ailleurs assez souvent des zombies !) ou bien des mutants étranges dans le cas de virus venus de l'espace (La mutante). Dans ce cas le genre copule allègrement avec le film d'E.T.

Les animaux

Ils avaient appris à vivre dans l'ombre, furtivement, à sortir surtout la nuit et à craindre les hommes. Et soudain ils commencèrent à réaliser leur force et à prendre goût à la chair humaine. A leurs dents tranchantes comme des rasoirs, à leur nombre venait s'ajouter une arme supplémentaire : l'horreur et le dégoût qu'inspirait leur multitude grouillante. Bientôt on découvrit les restes ensanglantés des premières victimes... ---- (Les rats de James Herbert).

Le plus commun des animaux est une source inépuisable de peur. Quoi de plus terrifiant que le gentil toutou du voisin qui se transforme, sous l'effet de quelques pulsions inconnues en bête violente et sans pitié : Cujo de Stephen King. Mais les créatures bassement terrestre qui causent les plus grandes trouilles aux masses humains sont, et de loin, les insectes. Araignées, fourmis, ou cafards se dispustent allègrement le privilège de la peur ordinaire. Alors imaginez un peu si ces saloperies se mettent à muter (Ticks), à bouffer de la matière radioactive (Les Fourmis Cannibales) ou, tout simplement, à prendre gout à la chair humaine (Creepshow)...
Les rats (Les Rats de Manhattan) sont en bonne place, eux aussi, avec les chiens (Max), les chats (La Nuit Déchirée, Les griffes de la mort) et grâce au cinéma, les requins (Les Dents de la Mer et son stupide remake Cruel Jaws), les singes (King Kong) ou les oiseaux (Les Oiseaux). Toutes ces "gentilles" bébêtes, c'est bien connu, sont incontrôlables et, malgré la puissance de l'homme, finissent un jours ou l'autre à se retourner contre lui. Toujours dans le souci de grandir l'homme face à l'animal, on ne sait jamais très bien ce qui les pousse à agir. On soupçonne un quelconque déreglement de leurs hormones, un changement climatique ou un instinct primitif et parfois de nobles intentions (Orca, la mère Orque qui défend sa progéniture) ou des agissements malgré eux (Max, le pauvre chien que l'on a "trafiqué", pour en faire un tueur).
Ne regardez pas votre chat avec cet oeil là, il va finir par soupçonner quelque chose...

Les savants

Un des savants givrés de Re-animator

Hey, tu veux un coup de tronche ?

Le savant fou travaille en secret, généralement pour trois raisons : devenir maître du monde après avoir fabriqué une arme secrète (nouvelle race, nouvelle créature), devenir immortel après avoir découvert un secret quelconque (paranormal ou non), ou alors juste parce que ses travaux ne sont pas très en accord avec l'éthique de ses autres confrères. Il est parfois de bonne volonté mais étant fou il sombre rapidement dans un état de panique et provoque diverses catastrophes (la plupart du temps, il lâche ses créations à la surface du monde).

Les inclassables

On fera cette rubrique quand on aura fini de classer tout le reste...

Horreur sur le Web L'Antre de Nurgle